Samedi 19 juillet LACAUNE

 

Située au cœur des Monts de Lacaune, à 800m d’altitude dans un environnement propice au séchage de la viande, la charcuterie Oberti nous accueille pour une visite guidée pour découvrir l’étendue de leurs savoir-faire.
" Tout est bon dans le cochon», surtout à Lacaune ! "
Nous pénétrons dans l’univers de la fabrication du célèbre jambon de Lacaune.
Du salage à l’affinage en passant par un immense séchoir comportant pas moins de 12000 jambons. Puis un saut dans le temps, direction XVIème siècle pour la partie musée ou découverte pour les uns, nostalgie pour les autres, nous découvrons des machines d’époque, des costumes, des outils retraçant le quotidien. Évidemment, nous finissons en boutique avec une dégustation de quelques-unes des spécialités et éventuellement emportant des souvenirs gourmands. Au retour, le bus de Manu sentait «bon le cochon 🐷» !
Départ pour les 2 groupes du parking du col de Piquotalen 1003m. Dans ce début de forêt, ce sont les résineux, surtout les épicéas qui dominent. L’essence de ces arbres nous envahit et nous ragaillardit. 1 km plus loin, un joli coin aménagé avec 3 étangs « les bassins de Poutras), aire reposante et revigorante nous décidons de casser la croûte dans ce lieu aménagé,  nous filons par le chemin forestier vers les tourbières de la jasse de Martinou. Agréable sensation de marcher dans cette forêt sur un chemin plat en légère descente. Par endroits, des stèles rappellent que des hommes sont morts lors de la IIe Guerre Mondiale, dans les combats du maquis de la Montagne Noire contre l'armée allemande.  Nous atteignons un lieu plus humide et ombragé, le refuge de "Martinou" ( ne ricaner pas ! ce nom n'a rien de péjoratif, il ne désigne pas un Martin de petite taille, le suffixe "nou" étant une terminologie affectueuse, comme dans "Petitou", n’est-ce pas Jean-Louis !). Nous sortons des bois pour traverser la zone de Sagne du Loup, l’humidité est bien présente sous nos godillots, l’odeur, mais le sentier est parfaitement praticable. À la place des loups, quelques insectes inoffensifs et 41 randonneurs. C'est reparti, direction Nord, il commence à faire chaud, les haltes ombragées sont les bienvenues. Nous atteignons le Roc des Écus, 1078m. D’après la légende, le Diable, chargé d'un gros sac d'écus, traversait les Monts de Lacaune. Parti d'Espagne, il allait acheter l'âme de quelques Auvergnats. Passant sur les hauteurs de la ville de Lacaune, il accrocha son sac à une souche. Tous les écus se dispersèrent au sol !!! L’œil acéré des randonneurs n’a pas déniché le moindre écu !
Une randonnée forestière très reposante sur un des rares chemins plats de Lacaune.
Remerciements :    

Organisateurs :        Jean-Louis
Animateurs :              Pierrette, Philippe
Serre fil:                      Marie
Photo «matons» :    Mireille, Evelyne
Chauffeur :                 Manu
 

Dimanche 13 juillet Sainte-Eulalie-de-Cernon

Dimanche 13 juillet Sortie surprise Ste Eulalie de Cernon (12)

 

52 randonneurs(euses), 8 kms de rails, repas dans un wagon, visite de la cité Templière : la Folie douce du Vélorail.

52 âmes courageux(euses) (ou inconscients(es), c'est selon) ont osé s'inscrire pour une sortie "surprise". Armés d d'un esprit d'aventure, ils, elles ont découvert le vélorail, le nez dans le guidon, prêts à en découdre avec les rails ! 

Imaginez-vous pédaler sur des rails, en descente, avec le vent qui vous fouette le visage. Oui, vous avez bien lu, sur des rails ! un pur bonheur, ponctués de 4 tunnels obscurs (à glagla, on s’est caillé !) et de 2 viaducs vertigineux. Le tout dans un paysage classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, le long de la vallée du Cernon. Un décor de rêve pour une aventure hors du commun. Après cette descente palpitante, nos intrépides randonneurs(euses) ont eu droit à un retour en train touristique. Un moment de détente bien mérité, où chacun a pu admirer le paysage sous un autre angle, tout en se remémorant les frissons de la descente. Et que dire du repas ? Servi dans un cadre inhabituel, un authentique wagon-restaurant, était savoureux. Un voyage dans le temps, un moment de partage, et de convivialité. 

Se balader dans les ruelles de Sainte Eulalie de Cernon est un pur régal ! Sur la place centrale fontaine et arbres centenaires apportent fraîcheur les jours de chaleur, cette ambiance méditerranéenne dépaysante est la bienvenue. Visite de l'une des Commanderies les mieux préservées de France et la vie de ces moines soldats à leur apogée. On y ressent un sentiment de sécurité et de confiance, les pierres protègent les habitants de toutes les intempéries. Les Templiers n’arrivent pas ici par hasard. En 1159, Béranger IV, Roi d’Aragon, Comte de Barcelone, tuteur du vicomte de Millau, donne aux Templiers la ville de Sainte-Eulalie et la terre du Larzac qui l'entoure, avec permission d'y construire des villes et des places fortes. Les Templiers vont structurer ces espaces en créant de vraies villes. Très organisés et vus comme les plus riches banquiers d’Occident, ils devinrent rapidement très puissants. La vie quotidienne des Templiers est partagée entre les prières, l'entraînement militaire, la protection des pèlerins, la récolte des taxes et impôts dus à l'Ordre et le contrôle du travail effectué par les paysans sur leurs terres. Les gains récoltés dans cette Commanderie servent à alimenter les Templiers qui sont en terre sainte. 

À entendre les commentaires positifs, c'est une idée à renouveler. Une belle journée sympathique, intéressante, avec quelques échappées à vélo... sur rails. La météo idéale a été la cerise sur le gâteau de cette aventure alors ! prêts à vous lancer dans l'aventure pour une nouvelle surprise ? 

Un grand bravo à Manu, comme toujours dans sa gestion du mastodonte avec lequel il fait corps, complètement (dixit Chantal E) !!

 

Remerciements : Organisateur :     Jean-Louis

Animateurs :                Les vélorails

Vélo balai :         Manu, Maryse, Jocelyne, Ginette, 

Photographes :     Claude, Lucie, Jocelyne, Monique, M-Reine.

Chauffeurs :     Manu pour le bus, Pierre pour la locomotive

 

Rendez-vous samedi 19 Juillet à Lacaune avec Jean-Louis.

Une boucle qui ne se « la boucle pas » : Mazères de Neste, St Laurent de Neste, Aventignan, Montréjeau. 

Nous avons parcouru un magnifique itinéraire à travers les communes de la région gasconne de Magnoac, sur le plateau de Lannemezan 

Départ de Mazères de Neste qui était pendant la Seconde Guerre mondiale un point crucial pour les réseaux d'évasion vers l'Espagne. De nombreux aviateurs alliés, résistants et juifs y sont passés, dont le célèbre pilote d'essai Charles Chuck Yeager de l’US Air Force. Il est revenu à Mazères en 2018, à l'âge de 95 ans, pour revoir les lieux et les survivants du réseau qui l'avait aidé à retrouver la liberté en 1944. Dès la sortie du village la fraîcheur du sous-bois, l’odeur de la terre humide, le chant des oiseaux (le loriot précise Ginette, une spécialiste des moineaux !) nous transporte dans une nature préservée. Au lieu-dit Ste Fé Le groupe s'est divisé le G1 a galopé vers St Laurent de Neste, un charmant bourg avec une église néo-classique du XIXe siècle abritant des statues du XVIIIe siècle. 

Le groupe 2, file tout droit direction Aventignan contournant le village par le pont sur la Neste, rivière qui alimente le canal de la Neste. De prairies en sous-bois, nous franchissons des petits ponts, en bois, en pierre, en métal, en rondins. Quelques gouttes de pluie ont accompagné notre marche le long du lac, où nous avons contemplé les fleurs d'onagre aux 1000 vertus (acné !). La fringale se fait sentir, une pause pique-nique à Gargas nous a revigorés avant de reprendre le sentier. De retour à l’opposé d’Aventignan, nous retraversons la Neste pour s’enfoncer dans le sous-bois qui longe la rivière que nous quittons pour avaler 0,70m de dénivelé et découvrir le lac et sa base de loisirs.

Aventignan connaît une réputation mondiale pour son petit hameau de Gargas et sa grotte préhistorique ornée de graffitis médiévaux de plus de 230 empreintes de mains mystérieuses sans phalanges : doigts coupés, maladie ??? On cherche encore le mystère. Des outils et des ossements d'animaux préhistoriques, dont un squelette entier d’hyène, y ont été découverts.

 

Conclusion : Randonnée parfaite, conviviale, détendue dans un décor varié, pause « éclair » rafraîchissante au lac de Montréjeau ! le tout avec une météo agréable, douce et ensoleillée.

A la semaine prochaine pour une nouvelle randonnée avec Jean-Louis à Pétaouchnock !

Surprise ! Surprise !

 

Remerciements :    Organisateur :          Vincent

                                         Animatrice :              Maïté

                                         Serre file :                  Mireille, Monique

                                         Photos :                      Evelyne, Mireille

                                         Chauffeur :                Encore et toujours Manu

Dimanche 6 juillet Mazères de Neste (65)

Dans le petit village de Vals 09, se cache un véritable trésor historique.
Vals abrite une église troglodyte surprenante classée aux monuments historiques.
Malgré l'apparente austérité de l'édifice, elle renferme de précieuses fresques romanes d'un grand intérêt historique appartenant à un mouvement artistique pyrénéen.
L’église est installée sur un site occupé par l'homme depuis le néolithique (4 500 ans). L'emplacement a servi d'habitat à l'âge du bronze et de lieu de culte durant l'antiquité, auquel a succédé le culte chrétien entre le IXe et Xe siècle. L'entrée principale de l'église se trouve dans sa partie basse à travers une fracture naturelle de la roche.
On peut observer un bénitier roman taillé directement dans la roche. L’église est construite sur 3 niveaux :
● 1re partie inférieure : la crypte, partie la plus ancienne de l'église.
● 2e partie intermédiaire : la nef supérieure, la surélévation date de la seconde moitié du XIXe siècle. Les vitraux de 1887 apportent une touche de couleur et de lumière à cet espace.
● 3e niveau : sans doute le plus impressionnant. Nous avons pu admirer l’abside semi-circulaire et la corniche décorée de motifs appelés « billettes ».
Le clou du spectacle se trouve sur la terrasse crénelée, qui offre une vue sur les environs.
Derrière l’église se trouvent les bases d’un ancien donjon du XIIIe siècle.
À découvrir : l’histoire fascinante du seigneur de Vals, qui fut hérétique « cathare » et participa à la résistance de Montségur.
Au départ de la randonnée, l’alternance entre forêts, prairies et terres agricoles crée une ambiance agréable et légère.
Le groupe avance d’un bon pas, profitant de la fraîcheur matinale.
Les arbres, essentiellement des hêtres et des chênes, nous offrent une ombre bienfaisante et une atmosphère humide rafraîchissante, bienvenue sous un soleil déjà présent.
Nous passons par le lieu-dit Les Brougues, puis poursuivons notre itinéraire vers le Paradis de Bel Fort et Douredoure.
Plus au nord, nous atteignons Cap Sec, où nous rejoignons brièvement la D6, accompagnés par le murmure du ruisseau de Gourgues.
Un peu plus loin, nous bifurquons à gauche pour suivre le ruisseau de la Garette jusqu’au lieu-dit Mort de Froid, un nom trompeur, car il y fait aujourd’hui pas moins de 35°C !
Notre matinée de marche s’achève à Ville-Rousse.
Épuisés par la chaleur écrasante et la fatigue accumulée de certains randonneurs, nous décidons à l’unanimité de faire une pause bien méritée pour déjeuner à l’ombre.
Après ce moment de répit, nous tentons de reprendre notre itinéraire... mais impossible de retrouver les sentiers pourtant bien repérés sur notre carte IGN.
La confusion s’installe.
Heureusement, nous croisons Philippe, un agriculteur du coin, qui nous assure que les chemins existent encore, bien qu’ils traversent un champ envahi de hautes herbes et semblent avoir été oubliés depuis longtemps.
Nous décidons malgré tout d’avancer.
Au bout de quelques centaines de mètres, un semblant de piste se dessine, redonnant un peu d’espoir à notre petit groupe.
Mais très vite, la progression devient difficile : hautes herbes, broussailles et ronces ralentissent notre avancée.
Après plus d’une heure à tourner en rond sans retrouver de trace claire du sentier, il faut se rendre à l’évidence, les chemins indiqués sur notre carte comme sur notre GPS ne sont plus praticables.
Nous rebroussons donc chemin jusqu’au lieu du déjeuner, dans l’espoir de trouver une autre issue.
C’est alors que nous rencontrons Jean, le seul habitant du hameau, et père de Philippe l’agriculteur pas de notre organisateur.
En entendant notre récit, il s’exclame, presque consterné :
« Malheureux ! Mon fils vous a envoyés par là ? Ces chemins sont abandonnés depuis des années ! »
Voyant notre désarroi, Jean nous propose aussitôt son aide.
Il embarque Manu, Jean-Louis et Philippe notre organisateur dans sa voiture pour les ramener à Vals, où ils pourront récupérer le bus afin de rapatrier le reste du groupe.
Une fois de retour à Ville-Rousse avec le bus où nous attend le gros de la troupe sagement installé à l’ombre, tout le monde se réjouit de terminer la randonnée dans le confort du bus climatisé de Manu.
Une pause bienvenue après l’effort !
Nous reprenons désormais la route en direction de Val, où nous attend notre guide Serge pour la visite de l’église.
Notre guide commence la visite digne d’un professionnel.
Il s’attarde sur les différentes époques de constructions et de la vie de cette église au sein du village, nous amène à l’intérieur pour nous décrire les fresques, nous commente les fouilles et la restauration et bien d’autres choses que le résumé ne permet pas de détailler.
Avant de quitter ce charmant village et de reprendre la route vers Toulouse, nous avons fait une dernière halte incontournable, un passage au café du coin, parfait pour clore la journée dans une ambiance conviviale.
Remerciements : Organisateur : Philippe
Animateur : Jean Louis
Photographes : Claude, Mireille ...
Chauffeur : devinez !

Sortie du 29 juin à VALS (09)

Dimanche 22 juin à GAILLAC (81)

33 inscrits (e), faisant fi de la météo, ont eu le plaisir de découvrir les paysages du Gaillacois, guidés par Manu, notre organisateur du jour, sous un ciel gris saupoudré de fines gouttelettes en matinée. Contrairement à nos habitudes, nous n'avons emprunté ni routes, ni longé l’autoroute, ni GR, mais uniquement des chemins pittoresques au cœur de cette région viticole réputée. Notre parcours nous a menés à travers des plaines verdoyantes, des forêts et sous-bois mystérieux, le tout entrecoupé de vignes appartenant à des domaines vinicoles renommés d’Occitanie. La diversité des paysages et la richesse des terres gaillacoises ont rendu cette randonnée particulièrement agréable. ??

A l’orée du bois les 2 groupes, arrivant en sens inverse, ont eu la surprise de découvrir un apéritif champêtre mis en place par le fils et la belle-fille de Manu pour célébrer son anniversaire. Moment apprécié pour une pause bien méritée, le soleil s’étant invité ! Les appareils photos crépitent, les rires fusent, les blagues surgissent créant une atmosphère magique et festive. Porto, vinho verde, jus de fruits enchantent nos palais. Ce n’est pas terminé ! «Waouh» ! Manu revient les bras chargés de pâtisseries. Nous avons été émerveillés par la quantité et la qualité des

des pâtisseries maisons préparées par Virginie son épouse, avec des saveurs variées comme le chocolat, l’orange, une spécialité portugaise. Il y en avait pour tous les goûts. Ces délicieuses gourmandises ont été sublimées par un vin frais pétillant de Gaillac…et de l’eau ! ??

Un GRAND merci à Manu, pour nous avoir fait découvrir les paysages de sa région avec tant de passion et de connaissance du terrain. Journée vraiment unique.

UN GRAND merci également à son épouse, son fils, sa belle-fille pour ses délicieuses pâtisseries qui ont ravi nos papilles et ajouté une touche sucrée à notre journée. Un vrai régal ! Nous reviendrons avec plaisir explorer cette région riche en paysage et en saveurs !!!

Joyeux Anniversaire Manu ??

 

La randonnée des Quatre Saints est une boucle de 15 km, crêtes et chapelles, combinant nature, spiritualité et légendes. 
Un itinéraire riche et authentique à découvrir dans la Montagne Noire autour de Dourgne.

 

- Saint‑Macaire, une source saine et thérapeutique, liée à la légende de l’ermite porté par un corbeau. 
On y priait autrefois pour la guérison, notamment autour de la Saint‑Jean .
- Saint‑Stapin, statue du géant au sommet d’un promontoire rocheux, offrant un superbe point de vue sur Dourgne et la plaine. On raconte que ses genoux ont laissé des empreintes dans la pierre.
- Saint‑Chipoli (ou Hippolyte), petit oratoire ou chapelle aujourd’hui disparu, ancien lieu de culte contre les méfaits du vent d’Autan. Le culte perdure à l’église Saint‑Pierre de Dourgne .
- Saint‑Ferréol et sa Capelette, chapelle édifiée en 1947 sur un plateau calcaire appelé “le désert de Saint‑Ferréol”. Lieu de panorama à flanc de coteau, dominant les paysages sauvages de la Montagne Noire.

 

•    Départ : place Jean‑Bugis à Dourgne.
•    Montée vers la source de Saint‑Macaire, puis ascension vers le promontoire de Saint‑Stapin.
•    Traversée vers l’ancien site de Saint‑Chipoli, puis progression à travers la carrière ou vestiges proches.
•    On rejoint ensuite le plateau calcaire du désert de Saint‑Ferréol jusqu’à la chapelle, avec vue panoramique.
•    Descente par bois et sentiers en direction de Massaguel, puis retour à Dourgne via un sentier reliant à l’abbaye Sainte‑Scholastique.

 

Un mélange d’histoire, de légendes et de géologie : sources sacrées, chapelles, vestiges.
des paysages très variés : forêts de la Montagne Noire, plateaux calcaires, points de vue au sommet.
Un patrimoine religieux et local : l’itinéraire est lié à une tradition populaire et spirituelle bien ancrée dans la culture dourgnole.
 

Dimanche 12 janvier 2025 à Dourgne (81) - Chemin des 4 Saints

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